2 janvier 2005
Le fleuve-moi Seul, assis sur un banc Un fleuve
Le fleuve-moi
Seul, assis sur un banc
Un fleuve lent, passible
Ecrasé par une ville, rose
Je n'ai et je ne suis rien.
Un fleuve qui descend sans fins.
Une vie sui s'écoule sans fins.
Mais l'un vivifie la Nature,
Et l autres dépeint sa décrépitude.
Je n'ai rien et suis rien
La colère gronde
Un fleuve trahit.
Qui de l'un ou de l'autre
L'emportera sur la vie ?
Zeblabla
12 10 2003
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